Et l’ombre finit par supplanter la lumière. Je la reconnais entre toutes mes névroses (ou mes tourments) (à chacun son vocabulaire).
Elle a déposé sa toile d’araignée sur ma vie depuis le 20 août dernier. S’est infiltrée doucement au début car j’avais encore la force de la repousser. Aujourd’hui, elle me suit, m’enveloppe d’un silence délétère, éteint mon rire à peine esquissé. Ombre passante, ombre tenace, qu’elle soit l’une ou l’autre, j’ai envie de l’arracher avec mes ongles et retrouver la lumière…la vie !!!
© Asphodèle – 18 octobre 2015
Moins de 100 mots : 80
Sur le vif ;oui
Élément du réel : oui
Ta sensibilité à travers tes mots me vrille le cœur.
C’est peut-être parce que nos deux « sensibilités » sont proches… 😉